Née à Montréal, Josée Mongeau fait ses études à l'Université de Sherbrooke. Séduite par la région, elle décide de s'y installer. Sa passion pour l'histoire et la généalogie l'amène à l'écriture de romans historiques. En 2002, elle fait paraître le premier tome des Chroniques de Ville-Marie (Et vogue la galère). Après cette expérience, elle retourne sur les bancs d'école. En 2007, elle obtient une maîtrise en histoire. À la guerre comme à la guerre est la suite d'Et vogue la galère.
Josée Mongeau
Les Iroquois les assaillaient sans cesse.
Le roi avait promis des troupes.
Mais le temps passait et rien ne venait.
Ils se sentaient abandonnés au bout du monde…
Juin 1665. Des troupes arrivent enfin à Québec. Tout au long de l'été, plus de mille soldats débarquent sous le commandement du marquis de Tracy. Le gouverneur Daniel de Rémy de Courcelle et l'intendant Jean Talon arrivent à la fin de l'été pour donner un nouveau souffle au Canada.
Aussitôt débarqués, les soldats sont envoyés sur la rivière Richelieu pour y ériger des forts. Certains soldats y hiverneront tandis que d'autres seront cantonnés dans l'une des trois bourgades de la Nouvelle-France.
Ville-Marie compte alors environ cinq cents personnes qui doivent héberger pas moins de deux cent cinquante soldats. La cohabitation ne sera pas de tout repos, d'autant plus que le gouverneur de Maisonneuve doit repartir pour la France. C'est le major de La Freydière, un officier du régiment de Carignan-Salières, qui prend sa place. Retors et malfaisant, cet homme abuse de son pouvoir. Ville-Marie voit apparaître en ses murs viols, tortures, brutalité et commerce illicite.
Texte inédit
Collection : Hamac-Carnet
446 pages
ISBN Papier : 9782894488065
ISBN PDF : 9782896649013
ISBN EPUB : 9782896649020
2014
ÉDITEUR : Septentrion
Hamac 835, avenue Turnbull, Québec (Québec). G1R 2X4
Téléphone : (418) 688-3556 Télécopieur : (418) 527-4978 Courriel : info@hamac.qc.ca
Réalisation : iXmédia
Ce livre a fait parler de lui :
« Suite de Et vogue la galère. Les aventuriers partis de France en quête de leur rêve tiennent bon malgré la rigueur du climat, l’hostilité des sauvages et l’animosité des soldats. Ces chroniques conservent l’intérêt en maintenant les projecteurs sur la vie quotidienne de ces obscurs fondateurs de Ville-Marie. En effet, le contexte historique est intéressant, toutefois, ce qui est captivant, c’est la vie quotidienne des hommes et des femmes venus librement peupler une colonie. Encore une fois, les lettres de Marie Garnier, sont un atout majeur dans ces chroniques. J’ai apprécié que l’on me narre, me raconte cette épopée plutôt qu’on ne me l’enseigne. »
Rachel Boisvert, Vivrelire