Jean-Pierre April, originaire de Rivière-du-Loup, est un ancien professeur de littérature au Cégep de Victoriaville. Il touche à divers genres pour ses publications: romans, nouvelles, essais, contes et slams. Après des romans d'anticipation sociale publiés dans les années 1980 et 1990, l'auteur explore aujourd'hui des facettes plus réalistes qui concernent sa région d'adoption, le Centre-du-Québec.
Jean-Pierre April
Au Centre-du-Québec, des enfants connaissent des expériences déterminantes sur plusieurs aspects de la vie. En 1948, Pierrot assiste aux funérailles de sa grand-mère; il l'accompagne dans un «escalator d'or» qui les conduira au ciel. À Drummondville, en 1959, un écolier soupçonne son père d'avoir une relation sexuelle avec une mineure. En septembre 2001, un jeunot découvre l'effondrement du World Trade Center, dont chaque étage contient autant de gens que son village. En 2048, dans une forêt artificielle, un adulescent tente d'échapper à l'emprise de son père qui avait engagé plusieurs «mères professionnelles» pour l'élever. Des adultes vivent une sexualité tragique ou réjouissante. Un professeur de danse espionne des femmes qui se déshabillent. Un homme revoit sa première amoureuse; il l'avait abandonnée à la suite du grave accident qui l'avait handicapée. En pleine nature, un couple se livre à des ébats torrides avant de se quitter amicalement.
Collection : Hamac
166 pages
ISBN Papier : 9782894488812
ISBN PDF : 9782894482322
ISBN EPUB : 9782894482339
2017
ÉDITEUR : Septentrion
Hamac 835, avenue Turnbull, Québec (Québec). G1R 2X4
Téléphone : (418) 688-3556 Télécopieur : (418) 527-4978 Courriel : info@hamac.qc.ca
Réalisation : iXmédia
Ce livre a fait parler de lui :
« Comme d'habitude, les écrits de l'ancien professeur de Cégep ont été conçus pour divertir, mais non sans poser un regard critique sur la société actuelle, avec une brève fenêtre sur ce à quoi pourrait ressembler le monde de demain. »
Yanick Poisson, La Tribune
« Jean-Pierre April va écrire les perversités, les incompréhensions, les pertes et les deuils que la société porte. Dans une écriture franche, sans fioritures, de beaux textes très captivants. Une belle lecture d'hiver qui met de la chaleur dans le coeur. »
Blogue Les mille et une pages